28 %
Pourcentage des fumeurs européens sachant que le vapotage est moins nocif que le tabac (communiqué de l’Independant European Vape Alliance / IEVA / voir 21 mars).
28 %
Pourcentage des fumeurs européens sachant que le vapotage est moins nocif que le tabac (communiqué de l’Independant European Vape Alliance / IEVA / voir 21 mars).
700 000 personnes dans l’UE meurent chaque année des suites du tabagisme et un fumeur sur deux meurt 14 ans avant l’âge. Passer au vapotage a aidé des millions de fumeurs dans le monde à réduire significativement les dommages pour leur santé.
… C’est ainsi que débute un communiqué de l’Independant European Vape Alliance (voir 2 mai 2021 et 20 novembre 2022), publié sur AFPForum. Et que nous reprenons.
•• Le principe de réduction des méfaits fonctionne et des millions d’autres fumeurs pourraient en bénéficier. Mais pour provoquer un véritable changement dans la société, les fumeurs doivent être informés : et cette information commence par les professionnels de santé.
Trois experts du King’s College de Londres et de l’organisme public de promotion de la santé Action on Smoking and Health (ASH) se sont récemment adressés aux professionnels de santé afin de « déconstruire les mythes autour de la cigarette électronique et du vapotage ».
« Actuellement, les e-cigarettes (vapoteuses) constituent l’aide la plus populaire pour arrêter de fumer en Angleterre et elles sont utilisées par environ 4,3 millions d’adultes en Grande-Bretagne, la majorité d’entre eux étant des anciens fumeurs », expliquent les auteurs, qui soulignent que « … comparé au tabagisme, le vapotage induit nettement moins de risques pour la santé et il faut encourager les fumeurs à utiliser les produits de vapotage … pour arrêter de fumer. »
•• Les experts craignent que les mythes autour du vapotage « risquent de freiner l’utilisation de ces produits comme aide à l’arrêt du tabac. »
Le Président de l’IEVA, Dustin Dahlmann, déclare : « les données concernant la réduction des risques sont disponibles. Si beaucoup plus de fumeurs qui ne parviennent pas à arrêter autrement passaient aux e-cigarettes, des millions de personnes dans le monde pourraient vivre mieux et plus longtemps. La politique de santé au Royaume-Uni devrait servir d’exemple à tous les acteurs politiques. » Lire la suite »
62 %
Pourcentage de l’opinion publique britannique déclarant « compréhensible » que les fumeurs se tournent vers le marché noir pour s’approvisionner en tabac à cause du niveau des prix officiels. Au Royaume-Uni, le prix moyen du paquet de 20 cigarettes devrait passer à 14,50 euros fin mars (voir 9 mars).
Toujours dans la perspective d’une nouvelle hausse des prix des produits du tabac, au Royaume-Uni (voir 9 mars et 22 février) …
C’est le quotidien populaire écossais Daily Record qui rapporte une étude surprenante (pas tant que cela, en fait …) de l’association Action on Smoking and Health Scotland (ASH, voir 13 juillet 2022) selon laquelle les Écossais aux plus faibles revenus dépensaient 29,4 % de leurs revenus dans l’achat des produits du tabac.
Soit neuf fois plus que le pourcentage de revenus consacré au tabac par les catégories les plus aisées. Lire la suite »
On sait que de nouvelles augmentations de prix du tabac sont en vue au Royaume-Uni. À courte vue même. Une annonce du Chancelier de l’Échiquier est attendue pour ce 15 mars (voir 22 février).
On parle d’une augmentation moyenne de 1,15 livre sterling (1,30 euro). De quoi hisser le paquet « moyen » de 20 cigarettes à 12,84 livres (14,50 euros). C’est dans ce contexte que l’association de défense de fumeurs Forest (voir 22 octobre 2021) a confié à une société d’enquêtes un sondage d’opinion.
Il ressort de cette enquête que 62 % des britanniques estiment qu’il est « compréhensible « que les fumeurs se tournent vers le marché noir pour s’approvisionner en tabac à cause du niveau des prix officiels. 22 % pensent que ce n’est pas compréhensible et 16 % ne savent pas.
Le dispositif « Espaces sans tabac », lancé par la Ligue contre le Cancer, poursuit son déploiement dans la capitale (voir 26 janvier 2021). Le centre sportif Georges-Carpentier (13ème) est le premier stade concerné alors que plusieurs arrondissements ont généralisé l’interdiction de fumer aux abords de leurs écoles. Reportage du Parisien.
Depuis quelques jours, l’inscription « Merci de ne pas fumer dans les espaces intérieurs et extérieurs du centre sportif », est affichée sur des panneaux aux quatre coins du complexe sportif Georges-Carpentier.
•• « L’idée est de beaucoup communiquer mais pas de courir après les gens » souligne Jérôme Coumet, maire (DVG) du 13ème, « les agents vont jouer le jeu. Pour ceux qui fument, ils le feront dans des espaces non visibles des jeunes, à l’extérieur. » Lire la suite »
« Augmentation du tabac dès le premier mars » annonçaient par affichettes de nombreux buralistes de Lyon ce mercredi 1er mars (voir 28 février). Réactions recueillies par actu Lyon …
•• Du côté des consommateurs lyonnais, les réactions divergent. Alors que certains n’osent « plus regarder les prix depuis longtemps » et se résignent, d’autres, aux budgets serrés, laissent parler leur colère. Mais tous se l’accordent : « ce n’est pas ce qui va nous faire arrêter de fumer. »
« C’est du vol. Bientôt, on ne pourra plus s’acheter de paquet, ni de pain, ni de viande … Tout augmente » renchérit un homme en sortant d’un tabac du 3ème arrondissement. Lire la suite »
D’après une enquête réalisée par l’organisme anti-tabac US Centers for Desease Control and Prevention, 53,7 % des Américains seraient d’accord avec l’idée d’interdire « tous les produits du tabac ».
Alors que 62,3 % sont favorables à l’interdiction des cigarettes menthol, ce qui est une mesure-phare du programme santé du mandat du président Joe Biden (voir 2 mai 2022). Le sondage a été réalisé auprès d’un échantillon représentatif de 6 455 personnes de plus de 18 ans. Lire la suite »
Alors que les buralistes-tabaccai italiens multiplient les rendez-vous de travail et d’échanges avec des ministres du gouvernement de Georgia Meloni (avec Matteo Piantedosi, ministre de l’Intérieur, et Sandra Savino, sous-secrétaire d’État à l’Économie), le ministre de la Santé, Orazio Schillaci (un médecin), distille les déclarations (polémiques).
Pour que « les différents intérêts liés au tabac, dont les ministères de l’Économie, ne débordent pas les intérêts sanitaires » …
Et d’annoncer de prochaines mesures qui s’inscrivent dans la perspective d’une « génération sans tabac ». Lire la suite »
207 euros par mois : c’est ce qu’un fumeur dépense en moyenne pour ses cigarettes chaque mois, soit 2 484 euros par an, selon l’étude d’Alliance contre le Tabac servant de fer de lance à la campagne de sensibilisation « Pouvoir de vivre » (voir 10 et 11 janvier).
•• Retour sur les chiffres-clés de l’étude (BVA pour l’ACT décembre 2022)
• L’impact budgétaire de la consommation de tabac est d’autant plus lourd pour les plus défavorisés : chez les personnes vivant sous le seuil de pauvreté, le tabagisme peut représenter jusqu’à 30 % des dépenses d’un ménage. Lire la suite »