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14 Juil 2024 | Profession
 

Au nouveau « mégastore » des Champs-Élysées, un espace de vente de 1 000 mètres carrés installé à Paris pour les Jeux olympiques, de nombreux touristes étrangers se pressent pour acheter un souvenir ou se prendre en photo à côté de la flamme olympique…

C’est ainsi que débute une dépêche AFP, signée Benoit Pelegrin, que nous reprenons (…)

•• Nicole, une touriste américaine d’une quarantaine d’années rencontrée cette semaine par l’AFP, a pu faire ses emplettes avec une carte Visa qu’elle avait dans son sac. Cathy, touriste de 40 ans originaire de Taïwan, a elle réglé ses achats en espèces puisqu’elle n’avait pas pris sa carte Visa avec elle.

La mainmise du géant américain Visa sur l’ensemble des paiements sur les sites de la compétition et dans les boutiques officielles, grâce à son statut de partenaire olympique de premier rang, ne la dérange pas outre mesure.

Michel, à l’inverse, est en colère. « Il faut retirer du liquide, c’est soit la Visa, soit du cash », déplore ce Francilien de 63 ans, entré un peu par hasard dans la boutique et désagréablement surpris de voir l’éventail réduit des modes de paiement. « Je n’ai pas cinquante cartes », souligne-t-il, « c‘est du n’importe quoi ! » Un vendeur vient pourtant de passer quelques minutes avec lui pour lui expliquer l’origine du partenariat, sans le convaincre.

Pour Michel et l’ensemble des détenteurs de cartes du concurrent Mastercard, Visa a mis en place trois options :

• le retrait d’espèces grâce à un distributeur automatique de billets installé dans la boutique,
• la possibilité de créer une carte Visa dématérialisée – via l’application Visa Go disponible sur les « stores » d’applications mobiles depuis fin juin –
• et le retrait d’une carte physique disponible gratuitement à l’accueil de la boutique (…) Lire la suite »

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28 Juin 2024 | Observatoire
 

Le paiement sans contact sest généralisé en France à la faveur de la crise sanitaire. Et il pourrait faire un nouveau bond en avant grâce à larrivée prochaine dune nouvelle fonctionnalité, le « sans contact plus ».

En raison des risques de fraude, le plafond des paiements sans contact est relativement bas. Longtemps limité à 30 euros, il a été rehaussé à 50 euros en mai 2020.

Ce nouveau plafond s’est accompagné d’une adoption massive du sans contact. « Désormais plus de six paiements par carte de proximité sur dix sont réalisés en mode sans contact, pour des montants moyens inférieurs à 20 euros », indiquait la Banque de France, dans un rapport publié fin 2023. Lire la suite »

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26 Juin 2024 | Observatoire
 

En matière de lutte contre le réchauffement climatique, toute réduction des émissions de CO2 est bonne à prendre … Et les acteurs du paiement l’ont bien compris, au point d’en faire un argument auprès des consommateurs.

Entre les entreprises du paiement électronique, comme Worldline, et les acteurs de la filière fiduciaire – chargés des billets et des pièces – le sujet est même devenu un vrai terrain d’affrontement. Une enquête des Échos signée Tifenn Clinkemaillié.

•• Selon la Banque de France, qui cite une étude de la Banque centrale européenne (BCE), l’empreinte environnementale du billet par an et par habitant de la zone euro représente 101 micropoints (µPt), ce qui correspond à un trajet de 8 kilomètres en voiture. Soit moins de 0,01 % de l’impact environnemental annuel total d’un habitant de la zone euro.

Aussi faible soit-il, ce score reste supérieur à celui des moyens de paiements électroniques, répond une seconde étude, commandée par Worldline. En cause notamment, la « mobilité nécessaire pour aller chercher l’argent liquide au distributeur », explique Sébastien Mandron, directeur RSE pour le spécialiste français du paiement.

Transports compris, une transaction en espèces émettrait ainsi 36,8g de CO2, contre 2,45g pour un paiement par carte, soit quinze fois moins, assure le rapport, écrit par Patrice Geoffron, professeur d’économie à l’université Paris Dauphine-PSL. « La diminution de l’utilisation des espèces et des chèques contribue directement à aider le continent à atteindre ses ambitions en matière de réduction des émissions de CO2 ».

•• Et des moyens existent pour baisser encore les émissions, avance Worldline.

Parmi eux : remplacer la carte plastique par une carte virtuelle sur smartphone ou remplacer le terminal de paiement du commerçant par un smartphone. Dans ce scénario de paiement optimisé, une transaction n’émettrait plus que 0,74g de CO2. « Tout cela peut être fait du jour au lendemain », plaide Sébastien Mandron, pour qui les acteurs du secteur « ont un intérêt commun à s’engager dans l’exercice ».

Delupay, filiale de la banque Delubac & Cie spécialisée dans le paiement dématérialisé, assure pouvoir faire encore mieux. Selon une troisième étude réalisée par la start-up Greenly, la solution de paiement de Delupay – qui permet de se passer de terminal de paiement – émet uniquement 0,12 g de CO2 par transaction.  Lire la suite »

2 Déc 2023 | Profession
 

Selon la Police nationale à Limoges, les plaintes pour les arnaques via des cartes prépayées sont en recrudescence. Les buralistes sont de plus en plus vigilants, selon Le Populaire du Centre (voir aussi 13 novembre).

« Pas plus tard que la semaine dernière, une cliente voulait cinq coupons pour acheter des vêtements en ligne pour la somme totale de 2 000 euros. Cela ma tout de suite mis la puce à loreille et on lui a dit de voir avec la gendarmerie », relate Valérie Marsalaud, présidente de la fédération des buralistes de la Haute-Vienne et buraliste à Saint-Yrieix-la-Perche.

Même si les usagers connaissent ce procédé, les escrocs peuvent être très persuasifs, poursuit la buraliste : « personnellement, je mautorise à poser plus de questions aux clients quand il sagit de gros montants ; en général ce sont des sommes entre 1 000 et 3 000 euros. Une autre fois, une personne âgée est venue avec un faux courrier des Impôts. »

Si ces escrocs visent des particuliers, les buralistes doivent aussi se montrer eux-mêmes vigilants : « ils appellent, essaient davoir un employé au téléphone et pas le gérant et se font passer pour des agents de la maintenance de nos terminaux de point de vente. On a beau mettre en garde nos employés, nous ne sommes pas à labri. »

13 Nov 2023 | Profession
 

« 90 % des demandes de rechargement de cartes prépayées, servent à la fraude » annonce Frédéric Vergne, vice-président national de la Confédération et président de la fédération des buralistes de Corrèze, dans La Montagne.

« Nous invitons les buralistes à être bienveillants à l’égard des clients en les informant sur ces transactions, notamment quand d’importants montants sont demandés de manière régulière par un même client. »

•• Ainsi, dans un tabac-presse à Varetz, ce mercredi, une femme rentre et demande plusieurs coupons pour recharger sa carte PCS, carte prépayée et rechargeable vendue en magasin. Le montant : 750 euros. « C’est pour vous ? C’est un tiers qui vous l’a demandé ? Vous avez confiance en lui », lui demande le patron de l’établissement. Lire la suite »

13 Août 2023 | Observatoire
 

Le chancelier autrichien Karl Nehammer veut inscrire le « droit de payer en liquide » dans la constitution de son pays …

Ses arguments ? La population a besoin « d’une sécurité d’approvisionnement » de l’argent ; l’argent liquide étant synonyme « de sécurité et de liberté » notamment pour les personnes âgées.

L’idée avait été portée par une partie de la droite autrichienne il y a un an. Un certain nombre de leaders politiques ont cependant qualifié l’initiative de populiste. Les socialistes demandent une simple loi garantissant un distributeur par municipalité. Lire la suite »

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26 Juil 2023 | Observatoire
 

Le 1er août 2023, les tickets de caisse, de carte bancaire et les bons dachats seront délivrés à la demande du client, exception faite des tickets servant de justificatif. Cette disposition issue de la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire (dite loi « Agec ») participe aux objectifs de réduction des déchets et de préservation des ressources toute en garantissant les droits des consommateurs.

C’est ainsi que débute un communiqué de Bercy (Ministère de l’Économie et des Finances) dont nous reprenons l’essentiel. Lire la suite »

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19 Juin 2023 | Profession
 

Paysafecash et Paysafecard sont désormais disponibles sur Strator.

Paysafe est actuellement lun des leaders mondiaux du prépaiement en ligne.

Avec une utilisation simple, rapide et sécurisée, Paysafecash permet au client de faire des achats en ligne, de recharger son compte bancaire et même de payer ses factures en espèces directement chez le buraliste. Paysafecard direct permet, quant à lui, de recharger facilement son compte myPaysafe.

Avec Paysafecash et Paysafecard direct, le buraliste attire de nouveaux clients en point de vente : les utilisateurs préparent leur transaction sur internet et finalisent le paiement en point de vente.

Comment ça marche ? Grâce à un parcours simplifié, le buraliste n’a plus qu’à scanner le code-barres présenté par le client avant de l’encaisser. Lire la suite »

21 Mar 2023 | Profession
 

Lancé en 2009, Transcash est le premier acteur à investir le secteur des modes de paiements alternatifs. Face aux questions récurrentes du pouvoir dachat et des dépenses des Français, le groupe fait lumière sur les attentes et les modes de consommation de la population envers ces nouveaux modes de paiement.

Nous reprenons sa communication.

•• En France, 4 millions de personnes sont non bancarisées, dont 1 million d’entre-elles car interdits bancaires. Face à cela, les moyens de paiement alternatifs développés par Transcash & Fyve ont ainsi permis à plus de 500 000 Français d’avoir accès à un moyen de paiement depuis 2009.

Au-delà de la question du pouvoir d’achat, ces derniers sont également prisés pour :

• l’éducation des enfants : 26 % des ados possèdent une carte à leur nom et 73% des parents considèrent cela comme un outil pédagogique de gestion.
• un cadeau.
• l’étranger : elles peuvent être utilisées dans le monde entier et cela diminue les complications en cas de vol.
• les dépensiers compulsifs.
• ceux qui n’ont pas de compte bancaire.

À noter également que le taux de confiance envers les cartes et bracelets prépayés culmine à 89 % chez les utilisateurs.

•• Enfin, Fyve, la fintech lancée par Transcash à l’été 2022, a récemment lancée le 1er bracelet de paiement sans contact étanche (2 bracelets et d’une mini-carte vendu au prix de 20 euros) , ajustable et rechargeable (voir 4 août et 23 mai 2022).

Une utilisation qui se concentre principalement à Paris et en région parisienne puis à Lyon, Lille, Marseille, Nice. Dans l’ordre des dépenses, les « Fyvers » utilisent leur bracelet pour effectuer leurs courses quotidiennes en supermarché, manger dans un fastfood ou un restaurant traditionnel, boire un verre et se divertir. Lire la suite »

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17 Fév 2023 | Observatoire
 

BNP Paribas, Société générale et Crédit mutuel Alliance fédérale (qui détient CIC) vont mettre en commun, à partir de la fin de l’année, leurs 15 000 distributeurs de billets. Ce qui se traduira fin 2025, lorsque le projet sera complètement déployé, par une réduction du parc dans les zones urbaines, selon Le Figaro

En revanche, aucun automate ne devrait être fermé dans les zones rurales et isolées, assuraient ces banques lors de la présentation du projet (voir 13 octobre 2021). « L’offre de distributeurs pour chacun des clients sera renforcée jusqu’à trois fois », assurent-elles.

•• Les nouveaux distributeurs seront rebaptisés sous la marque « Cash Services ».

Ils permettront aux clients de BNP Paribas, Société générale et Crédit mutuel (hors Arkéa) d’effectuer gratuitement des retraits, mais aussi de réaliser des opérations bancaires simples, comme le dépôt d’espèces ou de chèques, la consultation de comptes ou encore l’impression d’un relevé d’identité bancaire (RIB).

•• Les consommateurs devraient s’y retrouver, car les banques facturent de plus en plus cher les retraits déplacés, c’est-à-dire effectués hors d’un distributeur de leur réseau.

L’objectif des trois enseignes est d’abord de s’adapter au recul de l’utilisation des espèces, qui s’accélère. Une mutualisation des points de retrait permettra aussi et surtout de réduire les coûts de gestion des distributeurs, chers à entretenir.  Entre 2018 et 2021, le nombre de DAB a fondu de près de 10 % (47 853 au total).

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