Alors que la tentation de fiscaliser les produits du vapotage est toujours présente dans les débats parlementaires budgétaires actuels (voir 23, 22 et 18 octobre), Oneshot Media (voir 23 septembre) a mobilisé plusieurs avis autorisés : de sorte à mettre en valeur le vapotage.
Plutôt que de le fiscaliser en l’assimilant abusivement à un produit du tabac. Nous reproduisons ces précieux témoignages (extraits de Libération du 23 octobre).
•• Professeur William Lowenstein (voir 27 juin 2019, 3 juin 2024) : « La priorité est de combattre les méfaits de la combustion. C’est elle qui tue : il y a 75 000 décès par an lié au tabac fumé, des centaines de milliers d’accidents cardiaques, d’insuffisances respiratoires, d’AVC et de cancers qui handicapent les personnes touchées (…) Il n’est pas question de dire à des non-fumeurs de vapoter et de devenir accro à la nicotine. Mais le mode d’usage du tabac est plus important dans les méfaits. Ce n’est pas la nicotine qui tue, c’est le fait de fumer. »
•• Professeur Bertrand Dautzenberg (voir 15 mai 2023) : « S’il n’y avait plus de cigarette, je serais contre la vape. Mais aujourd’hui, elle est une arme antitabac : elle le concurrence, a la plus grande efficacité ou équivalente au meilleur produit antitabagique (ett elle est aussi utile pour ne pas rechuter. Quand on est entouré de fumeurs, c’est plus facile de ne pas fumer lorsque l’on peut vapoter ! »