Le congrès 2021 des buralistes, qui se tient à Paris aujourd’hui et demain , en présence de plus de 500 délégués des fédérations départementales, présente un caractère particulier : Philippe Coy y briguera un deuxième mandat de quatre ans (voir 12 et 13 octobre).
Autant dire que l’on y parlera bilan (notamment celui de la grande démarche de Transformation de la profession, entamée dès 2019) mais autant de perspectives. Notamment pour après 2022.
•• Rappelons que le Fonds de Transformation fonctionne jusqu’à fin 2022 : cette échéance étant celle, aussi, de l’actuel moratoire sur la fiscalité tabac. Olivier Dussopt, ministre chargé des Comptes publics, est attendu.
Dans ce contexte, la présentation du rapport moral – par Sophie Lejeune – prendra un relief particulier.
•• Cette première journée sera consacrée aussi largement à un examen, avec des chiffres inédits, de la conjoncture économique et commerciale du réseau – sous toutes les facettes de son activité – en cette période de sortie de crise sanitaire.
Deux autres sujets importants sont attendus :
• la démarche RSE du réseau des buralistes. Avec notamment la mise en place de la REP Mégots (voir 11 et 12 août 2021).
• l’implication et la montée en puissance des buralistes sur le marché du vapotage (et autres produits à risques réduits) : avec une présentation de l’accompagnement mis en place par la Confédération mais aussi des risques potentiels de futurs directives européennes (voir 1er et 28 mai).