
Une nouvelle étude d’opinion publique — réalisée par l’institut Povaddo (voir 26 mai 2025 et 17 avril 2024) pour le compte de Philip Morris International dans neuf pays — met en évidence que l’opinion publique internationale se reconnaît de plus en plus dans deux constats :
- les nouvelles alternatives à la cigarette traditionnelle (tabac à chauffer, vapotage, sachets de nicotine) doivent être soutenues ;
- les politiques anti-tabac relèvent souvent davantage d’une approche idéologique que d’une démarche scientifique.
(Enquête réalisée du 11 au 17 septembre 2025 auprès d’un échantillon de 9 040 adultes répartis entre l’Argentine, le Brésil, l’Allemagne, l’Inde, l’Italie, le Japon, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis).
- 78 % des sondés estiment que les fumeurs doivent avoir un accès facile aux produits d’alternatives à la cigarette ;
- 76 % regrettent que les politiques anti-tabac soient plus influencées par des convictions idéologiques que par des preuves concrètes ;
- 87 % déclarent que les autorités gouvernementales devraient avant tout s’appuyer sur des éléments scientifiques dans l’élaboration de leur politique de santé ;
- dans les pays où certains produits d’alternatives à la cigarette sont interdits, plus de 94 % des sondés demandent une évolution de la réglementation ;
- 80 % estiment que les associations anti-tabac devraient prendre en compte l’ensemble des données disponibles sur les alternatives ;
- 77 % de l’échantillon (à l’exception des ressortissants suédois) pensent que leur pays devrait s’inspirer de l’approche suédoise en matière de produits alternatifs.
« Tous les pays qui adoptent des produits alternatifs à la cigarette ont constaté une baisse de la vente de cigarettes et de leur prévalence tabagique », commente à cette occasion Jacek Olczak, CEO de Philip Morris International.
« Il existe une forte demande dans le monde pour des politiques basées sur des éléments prouvés, en phase avec l’innovation, et qui procurent de meilleurs résultats à la société. »




