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29 Juil 2020 | Profession
 

Après la fermeture du site Seita de Nantes-Carquefou et l’important plan d’accompagnement social (voir 15 et 23 octobre 2014), certains des salariés ont continué les procédures devant les Prud’hommes qui avaient validé leur licenciement (voir 23 février 2017).

Mais la cour d’appel de Rennes vient de leur donner raison, annonce Ouest France. Selon les magistrats, qui ont examiné une dizaine de dossiers, ces anciens ouvriers ont été licenciés sans cause réelle et sérieuse et ils devront, à ce titre, être indemnisés.

En fonction de l’ancienneté, les sommes varient. La Seita est condamnée à verser, par exemple, à un salarié,  embauché en 1992, 50 000 euros ; à un autre, recruté en 2004, 30 000 euros toujours selon le quotidien régional. (Voir aussi 5 janvier 2019).