« Depuis notre comptoir, on sent le pouls de la société. Ça tire la langue. On le voit, on a moins d’achats additionnels, moins de gens qui prennent une confiserie, une boisson, un magazine … »
Un buraliste de Besançon (voir 13 octobre).
« Depuis notre comptoir, on sent le pouls de la société. Ça tire la langue. On le voit, on a moins d’achats additionnels, moins de gens qui prennent une confiserie, une boisson, un magazine … »
Un buraliste de Besançon (voir 13 octobre).