« Tous les métiers s’adaptent, nous aussi ! » … Philippe Coy était dans le Vaucluse, ce mercredi 22 septembre, pour faire la promotion de la transformation des buralistes, message relayé par Vaucluse Matin et La Provence.
« Il faut repenser notre univers marchand avec de nouveaux produits. Certains hésitent, je suis à leur écoute pour lever les doutes et les convaincre » a-t-il précisé.
•• Une évolution qualifiée de « naturelle mais aussi forcée » pour une profession « qui doit faire face à la baisse des ventes de tabac en volume et au succès du vapotage ».
54 dossiers liés à ce Fonds de transformation sont ouverts sur les 211 buralistes que compte le Département. « Ce qui fait 25 % contre 20 % pour la moyenne nationale. Le Vaucluse est plutôt un bon élève » a souligné Philippe Coy, ajoutant que la région Sud fait bonne figure dans sa globalité.
•• Exemple à Sorgues … Une boutique aérée et spacieuse et une multiplicité de services rendent la boutique attractive.
« J’ai suivi des formations pour mieux connaître les cigarettes électroniques. Effectivement, beaucoup de gens veulent arrêter la cigarette traditionnelle et ont besoin de conseils à ce sujet. Désormais, je m’y connais » a expliqué l’ancien militaire à La Provence.
« Je suis toujours en train de rechercher ce que je peux proposer de nouveau. Je viens par exemple de signer un partenariat avec un boulanger pour mettre en vente des sandwichs à midi ». Un photomaton dont il détient l’exclusivité dans le secteur délivre des photos conformes et donc valables pour les documents officiels : « moi, je sais ce qui est validé ou pas. J’aide les clients ».
Philippe Coy a également rendu visite à des homologues installés à Orange et Morières-lès- Avignon.