Dans son édition de juin (voir 5 juin), Le Losange déploie un dossier complet (de 10 pages) sur l’activité services-colis (voir 14 et 10 juin).
On y apprend que le groupe de travail Service Colis de la Confédération des buralistes a conduit une étude sur les buralistes ayant accueilli cette activité dans leur point de vente :
« Parmi ceux que nous avons interrogés, 57 % se disent satisfaits de cette activité et plus de 80 % affirment qu’ils veulent la poursuivre au cours des trois prochaines années » y indique Thierry Meyronin (président des buralistes de l’Isère, administrateur de la Confédération et animateur du groupe de travail).
Celui-ci indique aussi les trois critères indispensables pour le bon développement de cette activité chez ses collègues.
• « L’amplitude horaire qui correspond aux besoins des clients qui souhaitent réceptionner un colis dans un point relais plutôt que chez eux ».
• « Notre capacité à stocker et à ranger ces colis dans nos magasins de manière à ne pas les endommager mais aussi à bien organiser cet espace »; « il faut être méthodique dans le rangement pour être en mesure de satisfaire rapidement les clients qui viennent chercher leurs colis ».
• « La satisfaction du client est un critère essentiel pour les acteurs du marché qui redoutent, plus que tout, les colis égarés ».