La sexagénaire brûlée au 3e degré par l’explosion de la batterie de son e-cigarette, il y a quelques jours (voir Lmdt du 19 et 22 septembre), a fait savoir à l’AFP qu’elle avait déposé une plainte auprès du commissariat de Limoges, hier 25 septembre.
« A ce jour je suis encore suivie de très près par mes médecins, car mes brûlures sont graves. Il faut dire qu’elle sont en partie chimiques, c’est-à-dire dues au liquide que contenait la pile de ma cigarette électronique, qui s’est répandu sur ma cuisse lors de l’explosion » a expliqué l’intéressée. Selon elle, ses médecins « n’excluent pas une greffe de peau à ce stade ».