« Entre la pression des revendeurs (de cigarettes) et les dégradations du mobilier urbain, et même des halls d’immeubles pour y placer leurs planques, le quotidien tourne au cauchemar pour les riverains des zones de deal qui supportent le poids du phénomène.
« La récente contravention de 135 euros pour les acheteurs de cigarettes de contrefaçon s’avérant insuffisante, le démantèlement des sources d’approvisionnement, au-delà des réseaux locaux de distribution, doit être une vraie priorité pour assécher durablement les réseaux. »
Loïc Guézo, président de l’association de quartier « Demain la Chapelle » dans les 10ème et 18ème arrondissements de Paris, à propos de la vente à la sauvette de cigarettes (voir 27 juillet).