« Disons qu’il y a de fortes présomptions que ces établissements, ou en tout cas l’immense majorité d’entre eux, servent surtout à recycler l’argent du narcotrafic. »
Sébastien Cote (adjoint en charge de la Protection de la Population et de la Tranquillité publique de Montpellier) à propos des épiceries vendant toutes sortes de produits dont des cigarettes (voir 12 mars).