On apprend dans Le Figaro (édition du 17 août / voir ci-dessous) que parmi les commerces les plus touchés par les émeutes urbaines de fin-début juillet, « on retrouve …
• les magasins d’alimentation : 200 ont été touchés dont 30 ont brûlé
• près de 370 agences bancaires ont également été détériorées
• mais ce sont les débits de tabac qui ont le plus souffert de ces nuits de violence. Près de 436 établissements ont été touchés d’après les chiffres du ministère délégué aux PME. Parmi eux, les trois quarts ont été pillés et 10 % ont été totalement détruits.
Rappelons que lors de l’annonce par Thomas Cazenave (ministre délégué aux Comptes publiques) de l’aide spéciale aux buralistes sinistrés, négociée par la Confédération (voir 3 août), Philippe Coy a annoncé un bilan précis établi par la Confédération : 545 bureaux de tabac endommagés dont 64 établissements incendiés et complètement détruits.