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31 Juil 2019 | Profession
 

Depuis onze ans que Jules Cornu a repris le bar-tabac « Le Flash bar », à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), l’affaire s’est bien développée.

« C’était un établissement tout petit, on a diversifié les produits et surtout on a agrandi … Cinq ans après la reprise, j’ai recommencé à investir. En proposant une cave à bière avec 66 références. Depuis, on en parle sur les réseaux sociaux et ça vient de partout ! ».

Le buraliste a un principe : quand un emprunt se termine, il faut lancer un nouvel investissement.

Aujourd’hui, il s’apprête à frapper encore plus fort avec le soutien du Fonds de Transformation des buralistes (voir Lmdt du 19 décembre 2018).

•• Sur la table de son bureau, les perspectives de l’aménageur Eichenlaub Goldenberg de Lyon.

« Il faut savoir anticiper les besoins. Et là, j’ai besoin de 85 mètre carrés supplémentaires, dans un bâtiment que je vais construire à l’arrière avec une entrée par une rue adjacente. Ça va me permettre de développer une petite restauration rapide et proposer des salles de réunion. Les sandwiches, au début j’en vendais deux par jour. Aujourd’hui, c’est une dizaine. » détaille-t-il à La Voix du Nord.

•• Le buraliste en profitera pour repenser tout l’aménagement intérieur, changer les présentoirs pour le tabac, la presse, agrandir encore le bar. Et surtout refaire la devanture. Qui objectivement ne donne pas envie et ne laisse pas penser que l’établissement est si grand, d’après le journaliste.

•• Dans ce projet, Jules Cornu va bénéficier de l’aide du Fonds de Transformation des buralistes. Et c’est Franck Ponchart, conseiller entreprises à la CCI Artois – partenaire dans la démarche – qui a monté le dossier de l’audit préalable (voir Lmdt des 12 février et 18 juillet).