Depuis lundi, les témoignages sur les difficultés des buralistes nous arrivent en grand nombre (voir Lmdt du 24 novembre). Il arrive que ceux-ci soient « bruts de décoffrage ». En voici un.
Excessif ? Non, représentatif de ce qui se passe dans la tête d’un buraliste en ces jours de transition forcée.
« Difficile de s’y retrouver quand aucune indication n’est stipulée sur les cartouches !
« Sans compter toutes les références reçues sans être commandées et dont on ne sait même pas à quoi elles correspondent …
« Bravo à ce gros bordel qui nous a valu des heures de travail supplémentaires.
« Merci à Marisol Touraine qui ne sait pas ce que c’est de travailler dans un commerce de proximité et qui n’a sans doute pas besoin de se lever à l’aube 7 jours sur 7 ».