« La consommation de tabac est de plus en plus un marqueur social : en vingt ans, si la part de fumeurs quotidiens est passée de 28 % à 18 % dans les catégories supérieures, elle n’a pas baissé dans les catégories modestes, stagnant à 30 %. »
Christophe Guilluy (essayiste, auteur de « La France périphérique ») dans son dernier ouvrage « Les dépossédés » (voir 4 novembre).