« C’est l’insécurité au quotidien, la peur au ventre de l’ensemble des collègues qui lèvent le rideau avec des revendeurs à la sauvette à proximité … C’est un trafic quasi industriel, un trafic à l’échelle européenne. »
Serdar Kaya, président de la fédération des buralistes de l’Oise (voir 13 septembre).