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8 Jan 2019 | Profession
 

Comme elle le fait régulièrement, La Revue des Tabacs (dans son numéro de janvier) présente un panorama de la rentabilité des points de vente des buralistes.

Des données toujours intéressantes à connaître alors que les buralistes sont invités à réfléchir aux orientations prioritaires de leur développement commercial avec le Plan de Transformation (voir Lmdt du 19 décembre 2018).

Mais elles sont à considérer avec précautions aussi : ce ne sont que des moyennes alors que l’on sait que le spectre d’activité commerciale est très large entre le premier et le 24 500 millième buraliste …

Les données collectées correspondent à 2017.

•• En introduction, il est présenté le palmarès des revenus des commerçants et artisans en 2017 (après charges sociales et avant impôts, d’après la Fédération des Centres de Gestion agréés).

Les buralistes apparaissent à double titre au Top 6 :

• Pharmacies d’officine : 140 840 euros
• Ambulanciers et taxis-ambulanciers : 61 050 euros
• Opticiens : 60 041 euros
Tabac-presse : 48 395 euros
• Agences immobilières : 46 820 euros
• Bar-tabac : 46 147 euros.

•• Sinon, La Revue des Tabacs établit les revenus moyens par activité pour 2017, de la façon suivante :

• Tabac : 68 792 euros de commission moyenne annuelle brute
• Presse : 21,2 % de taux moyen de marge sur le TTC pour les spécialistes
• FDJ : 27 600 euros de commission moyenne annuelle par buraliste
• PMU : 8 700 euros de commission moyenne annuelle par buraliste
• Nickel : 24 000 euros de commission moyenne annuelle « par buraliste qui s’implique » (sic)
• La Poste : 9 860 euros de commission moyenne annuelle par débit.