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31 Mar 2017 | Profession
 

Cagoules et menaces 

• Bas-Rhin. Trois malfaiteurs cagoulés ont fait irruption, au début de la matinée du 30 mars, chez un buraliste du quartier de la Robertsau, à Strasbourg. Ils se sont montrés très menaçants avec l’employée avant de dérober recette et cartouches.

Fusil à pompe

• Gard. Grosse frayeur ce matin du jeudi 30 mars dans un bureau de tabac à Fourques. Un malfaiteur visage masqué, y a fait irruption armé d’un fusil à pompe. Le braqueur n’a emporté qu’un maigre butin. À savoir :  un fond de caisse et quelques paquets de cigarettes.

Identifié par son scooter

• Seine-Maritime. Le braqueur a utilisé du gaz lacrymogène pour menacer un gérant de bar-tabac à Yvetot, en début de soirée ce mercredi 29 mars. Le contenu de la caisse en main, il a pris la fuite en scooter. Des témoins l’ont poursuivi sur quelques mètres afin de relever la plaque d’immatriculation du deux-roues. L’homme serait déjà connu des services de police.

Série noire

• Savoie. Depuis le 17 mars, un tabac-presse à Grésy-sur-Aix a été cambriolé trois fois, dont les deux dernières fois la suite, dans les nuits du lundi 27 au 28 puis … du 28 au 29 mars. À chaque forfait, l’équipe de cambrioleurs a agi en véritable commando et a fait main basse sur des cartons ou des cartouches de cigarettes.

Le scénario s’avère le même, comme l’attestent les images de la vidéo-surveillance : les malfaiteurs arrivent à bord d’une puissante berline, de couleur sombre et avec des fausses plaques, qu’ils garent dans le sens du départ, coffre ouvert. Après avoir forcé les portes blindées et sécurisées en quelques secondes, à l’aide de pieds de biche, ils s’ouvrent l’accès à la réserve et volent le stock à leur portée.  Malgré l’alarme qui retentit, les voleurs agissent très rapidement et arrivent à leurs fins.

La vidéo-surveillance comme preuve 

• Tarn. Dimanche matin 26 mars, alors qu’un client d’un débit de tabac de Carmaux compose son code confidentiel, un jeune homme, qui se trouvait derrière lui, s’empare discrètement de son téléphone neuf sur le comptoir. Personne ne s’est rendu compte du vol. Le client revient le lendemain à la recherche de son smartphone … rien évidemment. Alors que la victime s’apprête à porter plainte au commissariat, le buraliste a l’idée de mettre à disposition ses images de vidéo-surveillance. Identifié puis arrêté, l’auteur du vol a tout reconnu. Il comparaîtra devant le tribunal d’Albi le 12 juin.