Fuite avec le gaz lacrymogène
• Gironde. Ce samedi 25 novembre, une petite heure avant la fermeture d’un bar-tabac à Listrac-Médoc, la buraliste a vu surgir un individu au visage dissimulé par sa capuche.
Passant derrière le comptoir, celui-ci a saisi le bras de la buraliste, lui intimant l’ordre de lui donner le contenu de la caisse. Essuyant un refus ferme et ne voulant pas repartir bredouille, il s’est emparé de quelques paquets de cigarettes avant de partir.
Il a utilisé une bombe lacrymogène pour couvrir sa fuite et retarder l’appel aux gendarmes.
Est-elle vraiment nécessaire cette expertise ?
• Sarthe. Le 9 octobre dernier, un homme avait demandé à acheter des cigarettes à une buraliste du Mans. Au moment de payer, sa carte bancaire ne passant pas, il avait alors suggéré qu’on lui laisse quelques cigarettes. Refus de la commerçante. « Donne-moi des clopes » avait-il alors hurlé en donnant un coup de poing à la buraliste après avoir brisé le plexiglass du comptoir. Il était parti en emportant le terminal de paiement.
Lors de son interpellation par la police, l’agresseur avait résisté et s’est montré violent envers les agents qui ont découvert avec lui le terminal de paiement du bureau de tabac, une balance de précision et des pochons plastiques pouvant servir au conditionnement du cannabis. Conduit en garde à vue, un flash psychologique est effectué et son hospitalisation ordonnée. Présenté au tribunal ce 24 novembre, une expertise psychiatrique a été ordonnée par le tribunal et l’audience a été renvoyée.