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21 Oct 2020 | Profession
 

Certes le tabac reste un produit d’appel … Mais afin de capter une nouvelle clientèle les buralistes ont dû s’adapter aux nouveaux modes de consommation.

Exemple à Épinal, avec viàMoselle qui a suivi Philippe Coy lors d’un récent déplacement dans les Vosges, ce samedi 10 octobre.

La buraliste visitée offre une gamme de services et de produits digne d’une liste à la Prévert … prévient le reportage. « On a le Point Paiement de Proximité … on a tout ce qui est cadeau, de la maroquinerie, de la décoration, des vêtements. On a aussi des boissons, du snacking, de la téléphonie … » énumère la buraliste. Sans oublier le Compte Nickel.

•• Pour Philippe Coy, « il y a quelques années, on ne vendait que de la Gitane brune ou maïs, du petit gris. Puis, la cigarette blonde est arrivée. Et voilà comment notre profession évolue. L’enjeu maintenant c’est que les buralistes créent leur propre histoire  ».

Même si le confinement a profité à l’activité tabac qui s’est « renationalisée », les buralistes doivent toujours affronter la concurrence frontalière. Alors, pour Philippe Coy, la priorité c’est le déploiement du Plan de Transformation négocié avec l’État.

•• Sur la nouvelle identité visuelle, Catherine Marcel, présidente des buralistes du département, précise : « on a choisi de ne plus indiquer le mot tabac, par contre, on a le petit rappel bleu-blanc-rouge puisqu’on est des commerçants de service public ».