Règlement de certains impôts, vente de billets de train …
Ce 25 novembre à Compiègne, ces sujets étaient un peu sur toutes les lèvres lors de l’assemblée générale de la chambre syndicale des buralistes de l’Oise, en présence de Philippe Coy et de représentants de la Douane régionale, relate le Courier Picard.
Dans l’Oise, « le maillage reste solide » a déclaré Serdar Kaya, le jeune – et nouveau – président départemental, même si l’érosion est là : 319 au 31 octobre 2019 contre 422 en 2003.
Et c’est en milieu rural que se compte le plus de fermetures. « On peut accepter les enjeux de santé publique. Mais il y a une injustice quand les clients viennent boire un café avec un paquet polonais dans la poche » s’indigne Serdar Kaya.
•• En 2020, la diversité sera sur leur comptoir. « On va remettre au cœur du territoire de vrais services à la population » a lancé Philippe Coy. Et la diversification-Transformation est en démarrage avec trois premiers dossiers (pour un total de 100 000 euros). « La communication dans l’Oise est en train de faire son effet et de nouvelles sollicitations nous parviennent » a expliqué Serdar Kaya. Deux demandes d’audit ont été formulées ces derniers jours.
•• « Même si la carotte rouge reste notre emblème, nous devons changer notre image. L’évolution ne viendra pas simplement en modifiant les étagères » a assuré Philipe Coy, lors de la réunion.