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2 Fév 2021 | Profession
 

Alors que la commune de Stenay (2 745 habitants, nord-est de la Meuse) vient de faire évoluer son dispositif de collecte des déchets, une buraliste a décidé de montrer l’exemple.

« Je suis collectrice de déchets spécifiques depuis peu. Il m’apparaît judicieux de signifier à tous que le moment est opportun pour se mettre au tri des ordures » explique-t-elle à L’Est Républicain.

•• Dans son point de vente, une ou plusieurs actions et animations de collectes vont être menées dans le courant de l’année avec l’aide de collègues commerçants, sous réserve de la situation sanitaire.

Et la liste de produits concernés est conséquente : les emballages de pains de mie, de pains spéciaux et de viennoiseries  ; les tubes de dentifrice souples et les brosses à dents en plastique; les collants, bas, mi-bas et les socquettes en fibres synthétiques; les emballages en plastique souple, les tubes en plastique, les lingettes cosmétiques ou les écorecharges;  les pots, sticks et sprays en plastique, les emballages de produits de maquillage … Et même les bâtons en plastique de sucettes.

•• « Dès lors qu’un certain poids est atteint, j’envoie le colis à la société de collecte. Mon compte est crédité avec des points, que je transforme en euros et que je reverse à une association ou une école de mon choix. En l’occurrence, j’ai choisi l’Union des commerçants pour 2021 » déclare ainsi la buraliste.