Bonne couverture des médias locaux – sur la 21ème « Journée de la Transformation » en Isère (voir Lmdt de ce jour) – dont les journalistes ont suivi Philippe Coy et Sophie Lejeune sur le terrain.
•• France Bleu Isère s’est concentré sur la visite d’un débit de tabac grenoblois, dans le centre-ville. Presse, confiserie, fournitures scolaires, e-liquides, cave à cigares … Le couple de buralistes pourrait faire office d’exemple en matière de dynamisme, pourtant ils enregistrent une baisse de clientèle depuis le début de l’année.
Il faut donc trouver d’autres idées. Depuis six mois, ils proposent, par exemple, les prestations de photocopie, impression ou scan à partir de clé USB. Et bientôt, sera lancé un « Cigare Club » avec des propriétaires de bars.
Commentaire de Philippe Coy : « Le plan de transformation c’est d’abord le buraliste qui doit se l’approprier. Ensuite, on traitera également l’établissement par l’extérieur et par l’intérieur parce qu’il est vrai que nous n’avons pas aujourd’hui le réseau le plus « sexy » ou le plus « glamour » dans une rue marchande.
« Nous sommes des buralistes mais aussi avant tout des entrepreneurs responsables. Et c’est cela qui doit accompagner notre quotidien ».
•• Le Dauphiné Libéré a fait un tour plus large. À Bernin, avec les élus de la mairie. Philippe Coy n’a d’ailleurs pas manqué de souligner « l’énergie qu’ils ont déployée pour réimplanter un bureau de tabac dans le village (…) Ils ont mené́ un vrai combat ».
Dans l’établissement précédent à Grenoble, après des échanges sur l’insécurité, le président de la Confédération a mis à l’honneur la spécialisation dans les cigares : « cela crée un lien différent avec le client. On n’est pas juste des distributeurs de tabac passifs, mais on peut être aussi dans la création et l’imagination. »
Dernière étape dans un tabac-presse, à Voreppe, que le président n’a pas hésité́ à qualifier de « cas d’école » grâce aux services de plus en plus variés (bornes photos, Compte Nickel, impression de cartes …). Preuve déjà d’une véritable « transformation » du métier en zone péri-urbaine, d’après lui.