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26 Juil 2019 | Profession
 

La Loire fait partie des dix-huit départements choisis par le ministère des Finances pour tester le dispositif d’acquittement des impôts chez les buralistes (voir Lmdt des 23, 24 et 25 juillet).

Dans Le Progrès (édition papier 25 juillet), Gilles Grangier, président de la chambre syndicale des buralistes de la Loire, réagit à cette annonce.

« On sait que le métier de buraliste est en train de se transformer. On a bien compris qu’aujourd’hui, ce qui est encore notre cœur d’activité, c’est-à-dire le tabac, va perdre des parts de marché. Il faut donc que l’on s’engage dans cette mutation. On propose à tous nos collègues, petit à petit, de faire bouger le métier pour aller vers un travail où l’on retrouve beaucoup de choses. »

« Si on veut garder de la fréquentation, il faut absolument qu’on apporte autre chose à nos clients. En fait, le public doit savoir que chez un buraliste on trouve toutes sortes de services. C’est avant tout un magasin, un commerce de proximité.

« Ils n’ont pas besoin d’aller loin ou d’aller sur Internet … Ils ont ces services chez un commerçant, en chair et en os, à côté de chez eux. »