On sait que c’est ce qui rend difficile le contrôle et la répression de ce « trafic de fourmis » que représente la revente de tabac à la sauvette. Ainsi, il apparait, un peu partout en Europe occidentale, que cette activité – parfaitement illégale, tellement impunie – est exercée par des gens « biens sous tous rapports ». Lesquels ont trouvé ainsi un deuxième job des plus lucratifs.
La semaine dernière, à Bradford, la police locale est tombée sur un vendeur de voitures sans problèmes et connu honorablement de son quartier. Il a dû s’expliquer sur la présence de 2 300 cigarettes Minsk, sans avertissements sanitaires, dans l’un de ses véhicules. Pour des primes à l’achat ?