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2 Mar 2023 | Profession
 

Dès l’annonce d’une nouvelle augmentation de la fiscalité des produits du tabac par le Gouvernement (voir 26 septembre 2022) dans le cadre du Projet de Loi de Financement de la Sécurité sociale – à l’origine de l’augmentation des prix de ce 1er février (voir 28 février et 1er mars 2023) – l’institut Odoxa avait réalisé un sondage pour le compte de Philip Morris France (voir 12 octobre 2022).

Sondage réalisé auprès d’un échantillon représentatif de Français. Nous revenons sur quelques-uns de ces résultats. Très significatifs.

•• Sur les conséquences de la hausse des prix du tabac

Il a été posé la question suivante à l’échantillon: « voici un certain nombre de reproches concernant la hausse des prix du tabac. Vous personnellement, dites-nous si vous êtes d’accord ou pas d’accord avec chacun de ces reproches. 

Cette nouvelle hausse des prix du tabac …

… va augmenter les ventes de tabac illicite (contrebande et contrefaçon) :
d’accord : 87 %
pas d’accord : 13 %

… va finalement enrichir les trafiquants plutôt que faire baisser le nombre des fumeurs :
d’accord : 79 %
pas d’accord : 21 %

… va pénaliser les buralistes :
d’accord : 72 %
pas d’accord : 27 %
nsp : 1 %

… est injuste socialement car elle va pénaliser les Français les plus modestes :
d’accord : 59 %
pas d’accord: 41 %

•• Sur l’achat de cigarettes ailleurs que chez les buralistes :

Il a été posé la question suivante aux fumeurs de l’échantillon : « et cette hausse pourrait-elle vous inciter à acheter des cigarettes ailleurs que chez votre buraliste (dans la rue, à l’étranger, sur les réseaux sociaux …) ? »
oui, certainement : 32 %
oui, probablement : 33 %
(total, oui) : 65 %
non, certainement pas : 13 %
non, probablement pas : 21 %
(total, non) : 34 %

Il a également été posé la question suivante à ces mêmes fumeurs : « et par le passé, avez-vous déjà acheté des cigarettes ailleurs que chez votre buraliste (dans la rue, à l’étranger, sur les réseaux sociaux …) ? »
oui, souvent : 23 %
oui, de temps en temps : 40 %
(total, oui) : 63 %
non, jamais : 25 %
non, rarement : 12 %
(total, non) : 37 %

(Enquête réalisée par Odoxa pour Philip Morris France auprés d’un échantillon de 998 Français, représentatif de la population française  âgée de 18 ans et plus, du 28 au 29 septembre).