Une fenêtre sur l’actualité quotidienne de tous les événements liés directement ou indirectement au tabac
12 Mai 2022 | Profession
 

À l’occasion du vendredi 13 mai, FDJ dévoile une étude sur la superstition, menée auprès du grand public et de 300 grands gagnants FDJ. Plus d’un tiers d’entre eux se considèrent superstitieux et seraient amenés à tenter leur chance à un jeu d’argent lors d’un vendredi 13. Cette date symbolique est synonyme de chance pour un Français sur cinq et pour un gagnant sur trois (enquête menée par CSA auprès de 2005 individus âgés de 18 ans et 300 grands gagnants).

Côté jeux, un nouveau ticket à gratter dédié au « vendredi 13 » fait son apparition cette année, aux côtés du traditionnel Super Loto proposé à 13 millions d’euros.

•• La superstition, une croyance personnelle

La superstition est présente à l’esprit d’une part importante de Français et de grands gagnants. Plus d’un tiers d’entre eux se considèrent superstitieux : 34 % des Français et 38 % des grands gagnants ( enquête menée par CSA auprès de 2005 individus âgés de 18 ans et 300 grands gagnants ).

Ce phénomène s’intensifie chez les moins de 35 ans, qui sont plus de la moitié (51 %) à confirmer ce sentiment. 42 % des gagnants superstitieux estiment, quant à eux, qu’ils ont remporté leur gain grâce à leur superstition

La superstition se décline principalement autour de diverses croyances populaires. Éviter de passer sous une échelle est, de loin, le réflexe le plus communément partagé par les Français (32 %).

Les grands gagnants ne sont pas insensibles à cet acte, qui arrive en deuxième (26 %) parmi leurs marqueurs de superstition. Avant tout, ceux-ci évoquent le chiffre 13 (27 %) comme vecteur de chance ou de malchance. Même si la majorité des sondés ne possède pas de « porte-bonheurs », une grande part d’entre eux se montre sensible à des symboles de chance, comme toucher du bois (23 % des Français) ou posséder un trèfle à quatre feuilles (19 %).

•• Le « vendredi 13 », un rituel de chance pour les Français et les grands gagnants

De manière générale, un Français sur cinq, superstitieux ou non, se dit sensible au chiffre 13 dans sa vie quotidienne. La date du « vendredi 13 » est même synonyme de chance pour 19 % des Français et 37 % des gagnants. 

Cet événement calendaire suscite un véritable intérêt pour tenter sa chance à un jeu d’argent. Plus d’un tiers des Français (34 %) et plus de la moitié des gagnants (57 %) seraient davantage amenés à jouer lors d’un vendredi 13. Pour ce « jour spécial », ils participeraient surtout à des jeux de tirage (80 % des Français et 86 % des grands gagnants) mais aussi à des jeux de grattage FDJ (49 % et 57 %).

Une fois le « jackpot » remporté, les Français se montreraient avant tout généreux envers leurs proches (34 %), se feraient plaisir (23 %) ou investiraient dans l’immobilier (20 %). Cela correspond d’ailleurs à la première dépense que les grands gagnants déclarent avoir effectuée : 37 % pour leurs proches, 23 % pour des plaisirs personnels et 19 % pour l’investissement dans la pierre.

•• L’offre de jeux du vendredi 13

Pour la première fois de son histoire, FDJ lance « Chance en or », une édition limitée autour de la chance qui sera commercialisée lors de chaque « vendredi 13 ». Pour une mise de 2 euros, ce ticket à gratter permet de remporter jusqu’à 20 000 euros.

Ce jeu éphémère est disponible en point de vente depuis le 2 mai. Il offre une chance sur 3,14 de remporter un lot, soit la meilleure fréquence de gain parmi les jeux à 2 euros. L’univers de la chance est largement représenté sur ce ticket. Le trèfle à quatre feuilles ainsi que les couleurs vert et or dominent le visuel. L’expérience de jeu est démultipliée avec quatre mini jeux aux mécaniques simples.

Comme pour chaque vendredi 13, un Super Loto est également proposé par FDJ, avec un bulletin dédié (mise de 3 euros), un jackpot de 13 millions d’euros, cinquante codes gagnants à 20 000 euros tirés au sort (comparé à dix codes pour un tirage Loto classique), ainsi que des rangs de gain plus élevés que ceux d’un tirage Loto classique.