« Comme chaque année depuis son existence, l’Aiduce (Association Indépendante des Utilisateurs de Cigarette Électronique) poursuivra son combat pour une vape libre et responsable » déclare Brice Lepoutre, son président, dans un billet de début d’année fixant la feuille de route pour 2017.
•• « Comme en 2016, nous continuerons à participer aux travaux de normalisation. Nous poursuivons ainsi et notamment les démarches engagées avec la Direction Générale de la Santé, et travaillerons avec Santé Publique France pour que la vape soit pleinement reconnue comme un outil de réduction des risques liés au tabagisme.
« En 2017, et sur invitation du professeur Vallet de la Direction Générale de la Santé et de la Mildeca (Mission interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites addictives), l’Aiduce participera également au comité de coordination du Plan National de Réduction du Tabagisme (PNRT / voir Lmdt du 28 décembre 2016) … Ce comité est l’une des principales sources de recommandations pour le ministère de la santé.
« L’Aiduce a accepté cette invitation afin de défendre le potentiel de la vape et les libertés de ses utilisateurs actuels ou potentiels auprès du comité. Son patient travail lui aura ainsi permis d’asseoir sa légitimité et de siéger désormais aux côtés de la Direction générale de la Santé, la Mildeca, la Direction générale de l’Offre de Soin, la Direction de la Sécurité Sociale, la Direction générale de la Cohésion sociale, la Direction générale du Travail, la Haute Autorité de Santé, etc.
•• « Peut-on ainsi espérer qu’en dépit des écueils qui se sont dressés contre elle, la vape soit de nouveau reconnue comme un produit de consommation courante et admise comme un véritable outil de réduction des risques liés au tabagisme dans le paysage sanitaire français ? L’avenir nous le confirmera, nous l’espérons. Mais en tout état de cause, et dans le cadre de cette nouvelle responsabilité, l’Aiduce continuera de faire valoir ses vues et de défendre une vape libre, accessible, et moins onéreuse que le tabac pour être plus attractive. Elle poursuivra son combat contre les idées reçues et les dangers infondés dont elle continue encore trop souvent d’être injustement accusée.
•• « Pour conclure sur une touche d’optimisme à l’aube de la nouvelle année, ne perdons pas de vue que les vapoteurs français demeurent encore bien lotis aux yeux des consommateurs de trop nombreux pays où la vape est purement et simplement interdite. Le combat qui nous anime ne s’arrête donc pas à nos frontières. Il est européen et mondial ».