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27 Mar 2016 | Profession
 

Buraliste PMUOn sait que l’Autorité de la concurrence a contraint le PMU à séparer complètement l’activité de ses paris pris chez les titulaires de celle correspondant aux mises passées en ligne (sur pmu.fr). Cette séparation porte tant sur la masse des jeux que sur les gains. Ce qui n’est pas neutre dans l’activité de l’opérateur (voir Lmdt des 4 décembre 2015 et 27 février 2016).

Dans son édition du 21 mars, Paris Turf publie le résultat d’un petit sondage auprès de ses lecteurs portant sur la question suivante : « comparez-vous systématiquement les rapports affichés dans le réseau en dur du PMU à ceux de pmu.fr ? ».

• 61,6 % des personnes interrogées ont répondu oui. Avec des commentaires significatifs :
. « Je compare les rapports probables avant de choisir sur quel support engager mon pari, car il y a souvent des différences notables ».
. « Certaines épreuves sont nettement plus rentables sur le réseau en dur. Et inversement. Ça devient une gymnastique quotidienne : jongler avec les meilleurs rapports. La masse des enjeux manque cruellement sur le réseau online, surtout sur les petites réunions ».
. « Le jeu simple reste préférable en dur, mais le e-Quinté + apporte de belles surprises ».
. « Je compare et c’est vraiment très pénible ».

• Parmi les « non », les commentaires sont tout aussi motivés :
. « Le réseau en dur est intéressant, car c’est là que se situe le plus grand nombre de joueurs ».
. « À quoi bon ? Si le rapport probable PMU offre, par exemple, trois points de mieux que pmu.fr, pensez-vous sérieusement que je vais foncer, échapper à la furie automobile, aux parieurs faisant la queue ou encore au risque de trouver porte close. Tout ça pour peut-être perdre ! ».