Une délégation des buralistes du Gard a été reçue en préfecture, ce vendredi 3 mars, afin de dénoncer la concurrence déloyale des épiceries de nuit et demander des sanctions plus sévères (voir 14 décembre et 6 octobre 2022).
Commentaire de Ghislaine Mazoyer, présidente de la fédération départementale des buralistes, au micro de France Bleu Gard Lozère : « le malaise aujourd’hui, c’est qu’on a beaucoup trop d’épiceries de nuit ou de taxiphones qui s’installent à côté des bureaux de tabac et qui vendent des cigarettes venues des pays de l’Est, ou d’Espagne, quand ce n’est pas de la contrefaçon. À Nîmes, ainsi il y a 45 buralistes contre 81 épiceries de nuit … »