L’affaire remonte en février dernier, à Meaux. Les douaniers entrent dans l’épicerie de Fouazi, alors absent. Ils opèrent sur réquisition du ministère public, lui même avisé sur information. Ils sont accueillis par Ahmed, en situation irrégulière, et découvre, au milieu des aliments et boissons, un stock de 100 paquets de cigarettes ainsi qu’une quantité sérieuse de tabac à narguilé. Dès le lendemain, Faouzi s’acquitte d’une amende douanière de 1 200 euros. Avant de passer au tribunal correctionnel ; ce qui s’est fait la semaine dernière.
Explications de Faouzi à la barre du tribunal : vouloir « dépanner ses clients après la fermeture des marchands de tabac » et vendre son tabac « comme les autres épiceries et boîtes de nuit … ».
Verdict : quinze jours avec sursis.