Coup de théâtre qui ne va pas aider à clarifier le dossier.
Le ministère de la Santé vient d’annuler son … propre décret qui devait, à partir du 30 octobre, classer le CBD comme « stupéfiant » et qui, à ce titre, l’avait fait entrer dans le tableau des « médicaments à base de substances actives narcotiques » (voir 25 octobre).
Ce nouveau décret déboucherait sur la convocation d’un groupe de travail pour traiter la question « de manière systématique et globale ».
Le ministère de la Santé invite l’Institut supérieur de la santé et le conseil supérieur de la santé à une réévaluation globale et, notamment, à évaluer « si les effets de la substance active cannabidiol restent inchangés quel que soit le pourcentage d’utilisation de celui-ci ».
À notre connaissance, la circulaire du 13 octobre de la Direction de l’Agence italienne des Douanes et du Monopole demandant aux « tabaccai » (buralistes) de ne vendre ni fleurs, ni huiles, ni résines, ni e-liquides au CBD, reste en vigueur.