« Buralistes » : le terme s’utilise, se scande, se proclame bien souvent avec le genre masculin : fiers d’être buralistes, n’est-ce pas ?
Ce métier singulier est pourtant pratiqué, dans la grande majorité des cas, en couple. Et beaucoup de buralistes exerçant seuls … sont des femmes.
La profession de buralistes se décline plus au féminin qu’au masculin, c’est un fait. Une force, aussi.
Nous dédions cette chronique du 8 mars aux femmes buralistes :
• Celles qui accueillent leurs clients avec ce sourire, ces petits mots sympas et discrets qui éclairent une journée. Une question de bienveillance, douce et efficace.
• Celles qui font face dans les coups durs : agressions, braquages, sales moments. Leur force tranquille est un recours.
• Celles qui s’occupent des enfants, élevés à l’ombre du magasin. Et ces sacrifices consentis pour leur futur.
• Celles qui apportent cette petite touche de goût qui rend le point de vente sans pareil.
• Celles qui supportent la fatigue d’une activité trépidante et le stress de l’entreprise. Leur obstination porte un réseau.
Fières d’être buralistes.