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12 Mar 2020 | Profession
 

Façon d’oublier le Coronavirus ? Et de conjurer le sort ? Comme pour chaque « vendredi 13 », FDJ propose un Super Loto de 13 millions d’euros avec un bulletin dédié à 3 euros.

Ils sont environ 5 millions de joueurs réguliers et occasionnels à tenter leur chance un « vendredi 13 », comparé à 2 à 3 millions de joueurs pour les tirages habituels. Un second Super Loto du « vendredi 13 » aura lieu en novembre.

À cette occasion, FDJ révèle une étude sur les superstitions et pratiques de jeu des Français, réalisée par le cabinet Consumer Science and Analytics (CSA) auprès de 2008 personnes de 18 ans et plus.

•• Moins d’un Français sur deux (38 %) se définit comme étant superstitieux. Mais cela dépend de l’âge : si 61 % des 18-24 ans se disent superstitieux, cette proportion décroît à 20 % chez les plus de 65 ans.

Pour autant, près d’un Français sur trois (30 %) associe le « vendredi 13 » aux jeux d’argent. Cette date symbolique touche plus largement les superstitieux, qui sont 43 % à assimiler cette date à la chance et 20 % à la malchance.

•• Lorsque l’on demande aux Français ce qu’ils seraient le plus susceptibles de faire un « vendredi 13 », plus de quatre Français sur dix (42 %) se disent prêts à sortir de leur quotidien, notamment pour jouer à des jeux d’argent (30 %).

Pour ces derniers, FDJ serait la complice de cette journée car 94 % joueraient à un de ses jeux de hasard.

•• D’une manière générale, les jeux de grattage et de tirage sont un rituel pour les Français, qui sont 62 % à y jouer, et même 76 % parmi les superstitieux. À noter que les Normands et les Bretons jouent plus aux jeux d’argent que la moyenne (72 % en Normandie et 67 % en Bretagne, comparé à 62 % au niveau national).

••  Parmi les joueurs de tirage, les habitudes sont fortement ancrées. Près d’un joueur sur deux (48 %) utilise les mêmes numéros à chaque fois. Pour 43 %, ces numéros correspondent à̀ des dates marquantes, pour 42% à des dates d’anniversaire ou encore à̀ des numéros fétiches pour 31 %.

•• S’ils ne se définissent pas comme superstitieux, les Français restent sensibles à des croyances personnelles et intimes. Plus de quatre Français sur dix (42 %) déclarent avoir un « numéro chance », en premier lieu le 7 (pour 13 % d’entre eux), qui est l’un des numéros les plus joués pour les jeux de tirage FDJ.

Parmi les objets portant chance, le trèfle à quatre feuilles est cité par 33 % des sondés, suivi par le fer à cheval (15 %).