Le délai limite de date de dépôt de candidature étant passé, nous savons que trois candidats se présenteront devant le congrès national, le 19 octobre, pour assurer la présidence de la Confédération, Pascal Montredon ayant annoncé qu’il ne briguerait pas de 4ème mandat.
Rappelons qui sont ces candidats, par ordre d’annonce de candidature (voir Lmdt du 5 juillet, des 1er et 14 août) :
Buraliste à Agen, président de la chambre syndicale du Lot-et-Garonne (depuis 2004) ; président de la fédération Sud-Ouest (2007) ; administrateur de la Confédération (2007) ; secrétaire général de la Confédération (2008).
Président de Formation buralistes, du CGA et de Promodern.
Buraliste à Lescar (près de Pau), président de la chambre syndicale des Pyrénées-Atlantiques/Béarn-et-Soule (depuis 2003) ; administrateur de la Confédération (2004) ; vice-président de la Confédération (2010).
Président du directoire de la Coopérative des buralistes.
Buraliste à Gannat, président de la chambre syndicale de l’Allier (depuis 2012) ; président de la fédération Auvergne-Forez (2013) ; administrateur de la Confédération (2013) ; vice-président de la Confédération (2015).
Président des commissions « Formation, transmission » et « Affaires sociales » de la Confédération.
•• Ces candidatures doivent être validées par le conseil d’administration de la Confédération appelé à se réunir, à Paris, le mercredi 6 septembre. Ce jour correspond au début de la campagne électorale officielle. Un comité électoral va être mis en place pour veiller au déroulement des opérations.
En principe, des réunions seront organisées dans chacune des fédérations régionales permettant aux candidats de présenter leurs propositions aux présidents de chambres syndicales et à leurs bureaux.
•• Le scrutin aura lieu lors du premier jour du congrès national de la Confédération, le jeudi 19 octobre, à Paris. Les électeurs sont les présidents de chambres syndicales disposant d’un nombre de mandats proportionnel au nombre de leurs adhérents.
Pour être élu, au premier tour, la majorité absolue (50 % plus 1 voix) est nécessaire. Au second tour, l’élu sera celui qui aura recueilli le plus grand nombre de voix.