Faute d’éclairage public
• Eure. À Mesnil-sur-l’Estrée, la présence de trois commerces complémentaires contribue à l’attrait de ce charmant village : un bar-tabac épicerie, un boulanger et une supérette.
Pour la troisième fois, en deux mois, le buraliste s’est fait cambrioler, dans la nuit du samedi 29 au 30 juillet. Le boulanger situé en face (et lui-même récemment cambriolé) est sorti, alerté par le bruit. Cela lui a valu d’être gazé.
Depuis quelque temps, les habitants demandent que l’unique rue commerçante reste éclairée la nuit. Pour d’obscures raisons (si ce n’est une certaine aversion pour le monde du commerce ?), le maire s’y refuse …
Incendies en série
• Bouches-du-Rhône. Dans la nuit du vendredi 29 juillet, vers 3h20, un incendie s’est déclaré à l’intérieur d’un bar-tabac de Trets. Les sapeurs-pompiers sont parvenus à contenir le feu, permettant d’éviter une propagation des flammes aux habitations voisines. Malgré les dégâts causés à l’intérieur du commerce, l’établissement, très apprécié, est resté ouvert en accueillant ses clients en terrasse.
Une enquête a été ouverte d’autant qu’il y a trois semaines un café, situé à quelques mètres, a été détruit en partie par un feu « volontaire ». Le 7 juillet dernier, au petit matin, deux hommes portant un casque intégral, sont arrivés sur un deux-roues. Ils ont fait sortir le tenancier du commerce, sous la menace d’une arme, avant d’arroser l’intérieur à l’aide d’un bidon. Abandonné sur place, encore rempli, ce dernier a provoqué une explosion détruisant une partie de l’établissement.
Coup sur coup
• Charente. Deux cambriolages nocturnes en deux jours … « On s’investit, on travaille beaucoup. C’est décourageant des événements comme ça » se désolent le couple de buralistes d’un tabac presse de Gond-Pontouvre.
Le premier s’est déroulé au milieu de la nuit du mardi 18 au mercredi 19 juillet, au cours de laquelle des malfaiteurs sont entrés par le toit, ont fait un trou dans le plafond, cassant la clim au passage. Première main basse sur un partie du tabac en réserve. Rebelote le lendemain. Le jeudi 20 juillet vers 21h, alors que le buraliste venait juste de partir, un voisin a vu des hommes sortir avec un carton dans les bras. Seconde razzia sur le stock.
L’alarme s’est déclenchée, mais le temps d’arriver sur place c‘était trop tard. L’assurance leur a dépêché un vigile pour surveiller le local les nuits suivantes. L’an dernier, déjà, des cambrioleurs avaient frappé cet établissement.