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20 Fév 2018 | Profession
 

Avec le numéro de février de « Buralistes » – la revue de la fédération des buralistes de la fédération Ile-de-France / Oise/ Seine-Maritime, désormais disponible en version digitale – se poursuit une série de courts reportages exemplaires sur les « success stories » de buralistes engageant de réels efforts et obtenant des résultats probants sur le marché prometteur du vapotage.

Cette fois-ci, il s’agit de Yacine Iskounen dont la civette de Pantin (Seine-Saint-Denis) réalise, d’ores et déjà, 30 % de son chiffre d’affaires avec la cigarette électronique. Juste derrière le tabac, elle a pris le dessus sur la téléphonie, la FDJ, le cigare ou le compte Nickel. Sa croissance sur cette activité a été de + 25 % l’année dernière.

Extraits significatifs :

•• Après, certes, une avancée à tâtons : « j’ai développé petit à petit une vitrine », puis deux, puis trois, puis cinq vitrines (…) Et pour lui le secret de la réussite tient en peu de mots : « il faut vraiment s’y intéresser. »

•• Ses conseils à ses collègues buralistes :

• « il faut le bon matériel, le bon liquide, au meilleur prix »

• et aussi « une profondeur de gamme, et des réponses adaptées aux primos (nouveaux vapoteurs), aux intermédiaires, et aux plus confirmés (…) Les clients doivent avoir du choix »

• son offre en nombre de références : 200 e-liquides ; plus de 30 e-cig ; 10 clearomiseurs

• autre point important à ses yeux : « ne pas coller son offre e-cig dans le linéaire tabac. Elle doit avoir une place dédiée. Il faut que les clients se sentent à l’aise et prennent le temps de regarder tranquillement ce dont ils ont besoin sans être pressés par les autres qui font la queue pour acheter leurs cigarettes. »