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22 Juil 2019 | Profession
 

Le numéro estival du Losange (voir Lmdt du 17 juillet) parvient aux buralistes abonnés avec un sticker de caisse et un stop rayon à disposer dans les points de vente. Soit la manifestation concrète de la campagne de communication commune de la Confédération et de France Vapotage visant à présenter de façon positive l’interdiction de vendre cigarettes électroniques et e-liquides aux moins de 18 ans (voir Lmdt du 10 juillet).

Dans ce même numéro du Losange, Sophie Lejeune (Confédération) et Vincent Durieux (France Vapotage) se livrent au jeu des questions-réponses. Extraits :

Le Losange : Pourquoi avez-vous fait de l’interdiction de la vente aux mineurs une démarche centrale ?

•• Vincent Durieux : « Notre approche a toujours été celle de la responsabilité. Le vapotage ne repose pas sur un produit anodin. Il s’adresse uniquement à des fumeurs et à des vapoteurs adultes qui souhaitent diminuer ou stopper leur consommation de tabac. »

•• Sophie Lejeune : « Les fumeurs sont nos clients et, dans un souci pécuniaire ou de santé, ils sont de plus en plus nombreux à se tourner vers le vapotage. C’est pourquoi il est impératif d’être encore plus professionnels et encore plus dynamiques sur ce marché. Et se professionnaliser passe aussi par la nécessité d’être les garants des règles, cela nous apportera plus de crédibilité et cela va dans le sens de la société contemporaine.

« C’est donc très positif qu’une fédération comme France Vapotage existe. La Confédération va pouvoir travailler concrètement avec elle, comme elle entend le faire avec les autres acteurs, notamment sur la question de la responsabilité (…)

« Ce que nous faisons aujourd’hui sur le vapotage en matière d’éthique et de responsabilité, nous allons le globaliser avec un programme « zéro défaut » qui doit s’appliquer à toutes les activités encadrées des buralistes, dont certaines peuvent être sources d’addictions. Nous ne sommes pas parfaits sur la vente aux mineurs, nous allons donc progresser pour que notre professionnalisme soit reconnu et transformer les petits défauts en une grande qualité du réseau ».

À suivre …