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17 Juil 2014 | Profession
 

AlarmeEn trois minutes
• Haute-Saône. Dans la nuit du mercredi 16 juillet, le tabac-presse-épicerie de la bourgade de Saulx s’est fait dévalisé. « Il était exactement 2 h 52 », raconte un voisin qui a été réveillé par un « grand bruit » (volet et fenêtre arrachés) et le déclenchement de l’alarme. Trois minutes plus tard, la totalité du stock de cartouches de cigarettes disparaît avec les malfaiteurs.
Un vol qui intervient deux mois jour pour jour après une précédente tentative perpétrée le 15 mai dernier. Ce jour-là les voleurs s’étaient attaqués à la porte d’entrée. L’alarme sonore s’était là aussi déclenchée et les malfaiteurs, aspergés de « brouillard », avaient décampé. La buraliste est convaincue que ce sont les mêmes auteurs.

Voiture-bélier volée
• Marne.
Dans la nuit du 15 au 16 juillet, des malfaiteurs utilisent un véhicule utilitaire, volé à quelques kilomètres, pour enfoncer la vitrine d’un bureau de tabac de Connantre. Embarquant des quantités importantes de tabac …

A quatre ou cinq
• Seine-et-Marne.
Dans la nuit du 15 au 16 juillet, vers 1 h 30, plusieurs individus cambriolent un bureau de tabac de Champs-sur-Marne. L’alarme se déclenche, un riverain prévient la police après avoir vu quatre ou cinq individus, habillés de vêtements sombres, prendre la fuite à bord d’une voiture, emportant de gros sacs de tabac dont le montant du préjudice n’est pas encore estimé.

« Dans la peur que le portable sonne »
• Loir-et-Cher.
C’est la sonnerie de leur portable –relié à l’alarme du magasin – qui a alerté, samedi 12 juillet, à 3 h 20 du matin, les propriétaires d’un tabac-presse de la Quinière à Blois. Sur place cinq minutes après, ils constatent la disparition d’une quantité de cartouches de cigarettes et de jeux de grattage, ainsi qu’un rideau de fer endommagé.
Depuis le 24 décembre, les cambriolages de commerce de proximité se succèdent dans le quartier et eux-mêmes ont subi deux tentatives. « Maintenant, la nuit, on ne dort plus. On vit dans la peur que le portable sonne. Je viens même faire des rondes, parfois », explique le buraliste, « j’ai parlé de la situation au maire, qui m’a répondu qu’une caméra pourrait être installée en 2015. Ça fait trop loin au rythme où ça va… ».